Je vous ai compris

Incoercible vision  d’une promiscuité comminatoire

Incommensurable espace d’une mansuétude ostentatoire

Immarcescible décor d’une pantomime discrétionnaire

Irrémissible écran d’une coruscation plénipotentiaire.

Cerné d’accointances, exempté de procrastination,

L’homme résipiscent bénit son travail vulnéraire.

Atteint de longanimité, il lénifie sa fuligineuse confiscation,

Soumis à une assuétude prévaricatrice, pour un valétudinaire

Enrichissement à la déontologie cachectique et stercoraire.

Habitué à l’astringent et à l’amalgame, il se doit d’être caudataire

S’il veut un brimborion, une passementerie et non un catafalque combinatoire.

Affamé de coquecigrues didascaliques, il manie l’écholocation péremptoire

Bâtissant une fantasmagorie de sycophantes, de dispendieux ataviques,

Il vitupère le satrape, vilipende le cauteleux, vénère le thaumaturge scapulaire,

Mais au nom d’un eudémonisme pusillanime, devient un turbiné parégorique.

Contraint à la mussitation au sein de phalanstères pénitentiels et jugulaires,

Son irascible incandescence s’émollit devant le gonfalon du fiduciaire réticulaire.

Flamberge pour le gallicisme, il reconnait son impéritie face à la tectonique des émonctions

Qui exploitent le palimpseste, le paralogisme, l’innocuité pour un minimal frumentaire.

Se sentant scarieux et liminal, astreint à la jarovisation, notre vindicatif devient supination.

Sans synoptique, stigmatisant la stochastique et l’impécunieux, il saponifie son probatique.

Son impédance indéhiscente se fait anacoluthe, palinodie et sacramentaire thionique.

Hagiographe de l’idiosyncrasie, il concède la tautologie de l’oxyton irénique

Et espère en le quaterne de la martingale ainsi qu’en la quadratique des zygomatiques.

Sa seule concupiscence, que son verboquet turgescent devienne sapide et macaronique,

Que l’équanimité l’emporte sur la vésanie et que la retraite ne devienne jamais asymptote,

Pour que sa vie ne soit pas que pignorative ni piriforme, mais une volition paroxystique.

Car devenu travailleur invétéré, le pernicieux veut mourir olographe et en litote.